Les RP de Gromek

Citation :

Musique d'ambiance: http://fr.youtube.com/watch?v=UwAmQ-A7gcE&feature=related



Russie, 29 Septembre 2098.

L'armée Rouge avance sans relache, devant le front allemand en Pologne. L'Allemagne attend le siege Russe, leurs drones, surpuissant appellé Artillerie Plasma, se positionne autour du centre ville de la capitale polonaise. Les Russes, armé de leurs croiseur interstellaire, et de leur blindés, espere repoussé les allemands jusqu'en Autriche.

Le General Gromek, diriga l'armée Rouge, et une idée lui parvenue, il se souvenue que son pere avait une arme blanche appelé sabre laser, Gromek ne savait pas s'en servir, mais il la prit et diriga l'armée Rouge, et ces droides vers la victoire.

Les Russes gagnirent le flanc est de la Pologne et les allemands reculèrent a grand pas. Mais Gromek ne voulais pas s'arreté la. Il decida de traquer toute personnes allemande, a cause de leurs affront contre le grand empire Russe. L'allemagne avait envoye des missilles interplanetaire sur une usines a fusion Russe.

Quelque jour plus tard, Gromek recu un telegramme holographique de son superieur hierarchique, et il anoncait que Gromek etait elu Grand Tsar Russe.

Il partit alors a la conquete du monde exterieur,

Plusieur année passerent et Gromek le grand, avait conquis tout le Maghreb, le Moyen Orient, l'Occident, et les Iles du pacifique. Mais un seul ennemis resistait, c'etait les Nation Unie d'Amerique. Toujours est il que Gromek envoya ces chasseurs bombarder Washington, les USA capitulerent quelque jour apres,

Et Gromek, conquis alors toute la Terre.

Le Grand Tsar Gromek, etait le plus grand heros Russe de toute l'histoire. Meme Staline etait moins fou que lui...

Gromek dirirga alors le monde a sa guise, et soumis les peuples voisin, a sa volonté.

[HRP]



Voila un petit RP. Bon j'en ferait d'autre dans le week end. Sa me fait passer le temp ^^

Citation :

Noir et Blanc

Bien ou Mal



Je ne comprend plus ce qu’il se passe, pourtant, il y a quelques heures tout était clair dans ma tête, je savais qui était qui, pourquoi je me battais, je pensais que notre guerre était juste, qu’il fallait détruire le mal qui sévissais dans le royaume d’à côté, même si nos voisins ne se sont jamais montrés belliqueux envers nous, je ne comprend toujours pas ce qui c’est passé!

On se trouve à la frontière, la bataille fait rage, je me bat comme un forcené, je coupe, je frappe, je tranche, j’essaye de me défendre et le coup fatal arrive, je tombe comme une masse, je pense que ma dernière heure est arrivée, un voile sombre tombe sur mes yeux!

J’ai froid, je baigne dans mon sang, j’ouvre les yeux, la bataille est finie plus aucun être vivant sur le champ de bataille, on dirait que nos deux armées étaient de la même force, il y a pas de survivants, pourquoi moi je suis toujours vivant ? Ça n’a pas de sens, comme si le destin m'avait empêché de mourir avec ceux de mon pays d’adoption, c’est vrai que ce peuple m'a accueilli comme l’un des siens même si je suis différent d’eux, ils ont tous les cheveux blonds et les yeux bleus alors que moi je suis châtain et les yeux verts, en tout cas, c’est mieux que nos ennemis, cheveux bruns et yeux marrons, pourquoi cette différence frappante, je n’ai jamais compris!

Tiens voila mon roi et le roi ennemi, ils vont croiser le fer devant moi, il va sortir son épée Âmoloch, cette arme qui est transmise de génération en génération dans la famille royale, voila, ils dégainent, une chose bizarre se produit, une chose incongrue, l’épée de mon roi se (à enlever) dénote avec son armure blanche, elle devient noir comme l’ébène et entourée d’une lueur rouge, alors que l’effet inverse se fait avec notre ennemi en armure noire, son épée devient blanche comme l’ivoire alors qu’une lueur bleuté apparaît, tout s’accélère, ils se jettent l’un contre l’autre d’un même élan, ils lancent la même attaque, on dirais deux jumeaux qui se battent, parade, feinte, coup d’estoc, ils s’infligent les même blessures en même temps, je ne sais plus qui est qui, leurs armures se rougissent de sang et de terre, seules les lames permettent de les différencier, voila le coup final infligé en même temps par l’un et l’autre, il se sont transpercés en même temps, incroyable, aucun n’a eu le dessus sur l’autre!

J’ai l’impression que ma vue se trouble, non, c’était qu’une impression, c’est le ciel qui s’assombrit pourtant bleu en cette fin de matinée qu’est ce qui ce passe, tout disparaît autour de moi, il fait noir autour de moi, je me dilue dans cette obscurité croissante, pourquoi, POURQUOI, je commence à comprendre, le néant, l’équilibre a été rompu, j’essaye de lutter contre, mais en vain, je disparaîs!

Le bien ne peut exister sans le mal, chacun renferme en lui les deux!

Citation :

Délire du petit homme ou fièvre d’un soir.
Délire du petit homme ou le clavier fou.
Délire du petit homme ou la peur du monde.
Délire du petit homme ou sans queue ni tête.
Délire du petit homme ou le CHAOS.

Hum, je cherche un autre mot… trop de souffrance, trop de peur pour parler …
Ses amours, sa vie sont brûlures, à trop aimer ou vouloir aimer la raison nous quitte.

Ce petit homme cherche le réconfort dans l’amour d’une femme, d’une mère…
Ce qu’il veut c’est partager.. Passion et souffrance, trop sensible à mon goût, je me demande ce qu’il à bien pu endurer pour être ce fantôme, il est perdu.
Il va se faire croquer, il le sait, il garde un semblant d’espoir, dieu du ciel qu’il est donc naïf !!!
Je ne me moque pas, troublant comme il me ressemble…
Je suis donc ce petit homme, je suis celui qui croit en l’amour, au partage, aux Hommes..
Je ne sais plus..
Que les femmes soient fleurs, que les hommes enfin soient papillons… que naissent le temps des amours.
Le désespoir guette comme la bête, que nenni ma mie, le Gévaudan est terre du milieu.
Oui vague à l’âme… Dame lune mon amie, chauffait mon cœur malade, que vos rayons soient doux à mes épaules.
Mes mains tremblent, la douleur est toujours là.
C’était il y a bien des années, c’était hier, souvenirs d’un combat gagné, victoire au goût amère, à quoi bon vivre si l’oubli ne peut être..
Pensées troublantes, je ne peux pas masquer ce monde blanc, murmures, sourire, regards absents. Oublier alors.
Oubli…. Quelques lettres, un mot comme un autre, non, il a en lui tout un monde, tous mes rêves, en lui existe ma passion, je ne peux effacer cette ombre …

A la moindre caresse du vent, je me retourne, doux frissons, je cherche haletant un signe.
Elle vient, je le sens, je le sais. Chuttttttttttt

Aux portes du Monde…
Déesse vêtue d’une robe de pétales blancs
Sous un ciel d’or, elle va d’un pas nonchalant.
D’un joli battement de paupières, sans surprise ni frayeur
Elle découvre ma vie. Femme n’as tu donc aucune peur.
Toutes les nuits elle hante mes rêves.
Elle est en moi, ce n’est qu’un songe, qu’une douleur.
Douleur, je sais que rien ne saurait me dissimuler
Au regard des autres, je pleure.
Pleure petit homme, que tes larmes soient de sang,
Mais n’oublie jamais qu’une déesse faite femme veille sur toi.


Elle est passée, je sens, parfum de fleur, je le sais…

Je pleure, amour, ne quitte pas cette chambrée, amour berce mon corps malade, perce mon cœur, j’ai froid, comment réchauffer ce corps qui me trahit, chaude couverture qu’un linceul.
Dieu que j’ai peur du monde blanc…..


Le petit homme sanglote, il se rappelle enfin ce qu’il est, ce qu’il fut.
Pourquoi demandez Dame de la nuit, je vous propose le rêve, il est si doux de rêver…
A vous lorsque le soir sera venu, lorsque la nuit enfin cachera nos visages, j’oserai chuchoter.
Que voulez vous savoir ma mie, que voulez vous entendre… Je me dois de le deviner, le jeu est ainsi fait…

Lorsque la lune en votre chambre sera invitée, je serais murmures, chant du vent, frissons.
Retour à cette chambre, couleur de la lune.. Blancheur de ses rayons,
pâleur d’un visage hanté par la souffrance, corps tordu de douleurs …
Comme à chaque fois, elle apparaît à mes cotés, douceur d’une main qui se pose sur un front, paroles apaisantes,
comme à son habitude de blanc vêtue elle est, comme à son habitude ses yeux me sourient.
Monde blanc.. Monde blanc.. Monde blanc..
Je vous en supplie donnez-moi l’oubli..

Variations
Je sais que la fin est proche.
Ce soir ou plutôt cette nuit j’ai rendez-vous.
Je suis décidé, il va me falloir affronter mes peurs, je n’y prépare depuis trop longtemps.
Pourquoi attendre encore, remettre au lendemain.
Cette nuit dame lune est bien ronde, encore quelques heures et elle sera rousse.
Entrebâiller ma fenêtre, laisser glisser un rayon de lune,
attendre un reflet dans mon grand miroir.. et s’armer de patience, je sais qu’elle viendra en son heure,
je sais que la nuit va être longue, je tremble, que nenni la peur n’est plus, je tremble d’amour…
Comment comprendre, comment expliquer que l’on puisse aimer à ce point.
Dans le monde blanc tout est souffrance, douleur, elles vont et viennent, une caresse, un sourire,
quelques mots rassurants..
Dans le monde blanc il nous arrive d’aimer, aimer pour oublier que l’on a mal.
Dans le monde blanc tout est secret, discret, une main ‘tendresse’, un regard ‘amour’.
J’ai gagne mon premier combat, j’ai quitté le monde blanc.
Le deuxième sera plus dur mais cette nuit je suis décidé, je vais me battre encore une fois, une dernière fois.

Reflet
Accroché au mur trône un grand miroir,
Que les reflets de la lune habillent de mille feux.
Miroir parle moi. Tu es la porte de mes rêves.
Laisse vagabonder mes amours.
Ouvre-moi son lit, laisse moi habiter ses songes.
Que de chaleur, que de parfum.
Doutes, espoirs, blotti au creux de son épaule,
J’entends battre son cœur.
Bonjour madame, je vous en prie, dormez.
Pourquoi cette peur, je ne suis qu’un reflet.
Comme dame lune, nous sommes liés,
Elle à ses rayons, moi à votre amitié.


Variation.
Voilà à moi de choisir…
Porte de mes rêves…
Habiter ses songes…
Rêves, songes, monde de la nuit…
Deux thèmes, deux musiques, deux variations…

J’ai choisi, cette nuit sera la dernière, je vais enfin oublier que je ne suis plus qu’un reflet.
Je n'ai plus peur du Monde Blanc.

Hum, je cherche d’autres mots…. Chaos, Chaotique, diarrhée verbale…Guernica.. Vous avez raison..
Cocktail d’une vie.

Petit RP que je viens de faire, et franchement je pense que c'est l'un de mes meilleurs.
Dite moi lesquel vous preferez

C'est très poétique... félicitations

merci donc tu prefere le 3eme ?

Bah... choisir, c'est renoncer :/

lol

Burn, philosophe en herbe
Bon, demain je lis ta partie RP Gromek et jte dis ce que j'en pense

ok dude

Citation :

Tokyo, 11 septembre 2039. A 11h11,

Cher Mediko,
Les temps sont dur ici et là, les hostilités ont déjà commencé. La Horde rythme ses attaques par le chant des partisans.
Leurs attaques martirisent nos troupes. Ainsi chaque jour, nous nous replions. Sans cesse...
Cependant à l'Est, nos armées avancent par derrière. Ainsi, nous surprendrons la grande Horde et la Garde Imperiale pourra prospérer sur le territoire Asiatique.
Dès lors, nous sommes en marche vers la victoire. Mais nous n'y arriverons pas seul.
C'est pourquoi, Général Mediko, veuillez agréer votre sympathie envers le front de l'Est, en emmenant vos plus chers soldats. Nous avons besoin de vous.
Et je sais que ça vous démange de manger Tokyo.
Il faut que vous sachiez que la Horde est un groupe solide et efficace au combat au corps à corps et que ce ne sera pas simple, loin de là...
J'ai cependant une requête à témoigner pour le caporal AkRaPoViC, il semblerait que nous manquions d'approvisionnement en eau potable.
J'aimerais qu'il extrait de son cristal le plus d'eau qu'il le pourra car c'est une guerre d'usure, et la Horde gagnera du terrain.
J'espère que vous examinerez mes sages paroles.


Signer:
Un soldat au front de l'Est

P.S: j'ai changer les pseudos, mais a la base c'est le RP donné pour le Guerre RHD VS Crazy

Citation :

Je ne trouve plus les mots pour parler de ma tristesse,
Je ne sais plus que faire devant cette impuissance.
Qui peut l'entendre, la voix de ma détresse ?
Que suis-je devant cet univers immense ?

Quand je vois tant d'indifférence,
Dans un monde rempli de souffrances,
Cette hypocrisie du genre humain,
Où chacun ne pense qu'a soit.

Mais que dois-je dire pour me faire entendre
Par ceux qui de mon enfance se sont joués ?
Suis-je vraiment trop petit pour comprendre,
Ou eux trop mauvais pour l'accepter ?

Se sont-ils seulement imaginés
Cette douleur qu'ils m'ont affligée ?
Se voient-ils l'enfance ruinée,
Enfance qu'ils se sont tant racontée ?

Un petit poeme ^^